10 août 2008
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Essayons le simple copié-collé pour le nouveau commentaire :
Que faire ? Une Marie ensanglantée ? Et quoi encore ?
Bon je dois effectivement avouer qu’il n’y pas mal des tomates dans le jardin jouxtant les Serres Moberti, il y en a tellement, qu’on se sent un peu ‘Pacman, à la quête de la vitamine perdue’ en le parcourrant à la recherche des départs (nombreux et top secrets comme les positions des sous-marins monégasques) des tuyaux d’arrosage. On – prudence avec le pluriel, mes petits doigts, des fois les esprits ne sont que la proie ravagée de la contradiction primaire, bête et omnivore – bon, je me demande que faire avec tout ça de tomates ?
En général quand une certaine production agricole dépasse de loin les espérances des exploitants, l’homme a trouvé, il y a des lustres, tout de suite après la marche (debout) un procédé astucieux pour transformer un hypothétique surplus en une quantité plus intéressante d’alcool. C’est sûr, la consommation nettement plus certaine, elle, que la conservation du dit alcool altère quelque peu l’aptitude à la locomotion bipède, mais tout progrès a son prix.Le raisin, les pommes, le riz, le blé, la cerise, la pêche, la pomme de t... bon, je ne veux pas être trop pédant dans mon insistance, et la tomate ? Rien ? Pourtant la direction de la maison de la tomate se fatigue à me dire que les Pomodori sont sucrés comme le loukoum, épicés comme du curry et je ne sais quoi encore. Ça devrait macérer comme tout, non ?
Faute de mieux, j’emploie alors un autre procédé permettant de faire tarder la disparition des énormes récoltes, je les sèche. Pour ne pas dire : je les momifie, ces belles pommes du Paradis.
La Marie par contre, je la préfère pimpante et en bonne santé. Rien d’une momie.
A la prochaine, pourquoi pas le 15.8.2008 avec une coupe de champagne de tomates.
King Ketchup alias Nehcoj Zties, l’embaumeur des tomates.
Et voila, hop, un commentaire grandeur nature.
Que faire ? Une Marie ensanglantée ? Et quoi encore ?
Bon je dois effectivement avouer qu’il n’y pas mal des tomates dans le jardin jouxtant les Serres Moberti, il y en a tellement, qu’on se sent un peu ‘Pacman, à la quête de la vitamine perdue’ en le parcourrant à la recherche des départs (nombreux et top secrets comme les positions des sous-marins monégasques) des tuyaux d’arrosage. On – prudence avec le pluriel, mes petits doigts, des fois les esprits ne sont que la proie ravagée de la contradiction primaire, bête et omnivore – bon, je me demande que faire avec tout ça de tomates ?
En général quand une certaine production agricole dépasse de loin les espérances des exploitants, l’homme a trouvé, il y a des lustres, tout de suite après la marche (debout) un procédé astucieux pour transformer un hypothétique surplus en une quantité plus intéressante d’alcool. C’est sûr, la consommation nettement plus certaine, elle, que la conservation du dit alcool altère quelque peu l’aptitude à la locomotion bipède, mais tout progrès a son prix.Le raisin, les pommes, le riz, le blé, la cerise, la pêche, la pomme de t... bon, je ne veux pas être trop pédant dans mon insistance, et la tomate ? Rien ? Pourtant la direction de la maison de la tomate se fatigue à me dire que les Pomodori sont sucrés comme le loukoum, épicés comme du curry et je ne sais quoi encore. Ça devrait macérer comme tout, non ?
Faute de mieux, j’emploie alors un autre procédé permettant de faire tarder la disparition des énormes récoltes, je les sèche. Pour ne pas dire : je les momifie, ces belles pommes du Paradis.
La Marie par contre, je la préfère pimpante et en bonne santé. Rien d’une momie.
A la prochaine, pourquoi pas le 15.8.2008 avec une coupe de champagne de tomates.
King Ketchup alias Nehcoj Zties, l’embaumeur des tomates.
Et voila, hop, un commentaire grandeur nature.
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